La loi ALUR : un frein ou un avantage pour les acteurs de l’immobilier ?
Le marché immobilier regroupe plusieurs types de profil, chacun ayant un objectif bien défini. Ce marché lucratif attire également de nombreux investisseurs. Compte tenu de l’ampleur des transactions réalisées et des différentes pratiques observées, il devient nécessaire de trouver une solution objective. C’est ainsi qu’en mars 2014, la loi ALUR fut votée et adoptée. Cette loi a pour objectif de réguler les marchés immobiliers et de protéger les populations les plus vulnérables. Toutefois, il est question de mesurer l’efficacité de cette loi.
Loi ALUR : résumé et les acteurs concernés
Accès au Logement et Urbanisme Rénové (loi ALUR) est entrée en vigueur en mars 2014. Cette loi vise à créer un équilibre entre les différents acteurs opérant sur le marché immobilier. Pour ce faire, elle améliore l’accès au logement et établit des normes facilitant les différentes interactions qui se font dans le secteur de l’immobilier. La loi ALUR cible principalement les bailleurs, les locataires, les propriétaires, les copropriétaires et les enseignes intermédiaires à l’instar des agences immobilières.
L’impact de la loi ALUR sur les particuliers et les entreprises
D’abord, la loi ALUR s’intéresse aux propriétaires et copropriétaires. Elle exige de la part de ces derniers de souscrire un contrat d’assurance responsabilité civile. Cette norme vise ainsi à les protéger contre les potentielles catastrophes mais également à protéger leur entourage. Ensuite, la loi ALUR leur impose un règlement sur la location en zones tendues.
En effet, elle a pour objectif de protéger les locataires en zone tendue par une fixation du loyer. Enfin, la loi ALUR impose une formation aux agents immobiliers afin de faciliter le renouvellement de leur carte professionnelle. La loi ALUR joue donc un rôle très important dans l’équilibre du marché immobilier.